* Institute of Soil Science and Land Evaluation, University of Hohenheim, Stuttgart, Germany, email: vennema@uni-hohenheim.deL'origine des branches "acadja"et les routes de
transport dans la province Atlantique
Stephanie Weinzierl et Karsten Vennemann*
Mots clés : pisciculture, aquaculture, lagune, dégradation des sols, transport, jachère
1 Objectifs
L’acaja est une technique traditionnelle piscicole nécessitant un nombre considérable de branchages et de brousailles pour la confection des parcs. L’objet de cette étude est de déterminer le niveau de prélèvement des branches pour acadja des terres incultes et de suivre le circuit de transport dans une partie du département de l’Atlantique. Le document comporte deux parties :
Les résultats ont été matérialisés sur une carte ensemble avec le circuit principal de transport des branches à acadja. Les problèmes écologiques qui résulteraient de l’utilisation de cette technique et le commerce engendré seront discutés.
- une première partie introductive qui fait le point de l’élevage des poissons en acadja,
- la deuxième évalue le niveau de prélèvement des branches des champs de jachère.
Sources de données
Les résultats ici présentés proviennent des travaux réalisés par l’auteur dans le cadre du Diplôme d’Etudes Approfondies par Weinzierl en 1997, ceux issus des enquêtes de Floquet et al. en 1995 et de quelques données de revues bibliographiques.Les données de l’enquête ont été obtenues à travers
La production de carte
- Enquête socio économiques de groupe et individuelles sur la technique de l’acadja
- Méthode Accélérée de Recherche Participative dans le cadre de la description des systèmes de production en vigueur dans le département de l’Atlantique
- Une étude descriptive des espèces de plante utilisées pour la fabrication des acadja, leur distribution spatiale, le diamètre des branches
- Le suivi du temps d’abattage et de collecte des branches à acadja
- L’échantillonnage de la matière sèche et l’estimation de la matière nutritive qui pourrait être exportée des champs au lagon
- Des essais de bouturage en pots des branches habituellement utilisées dans la confection des acadja
- La cartographie des principales zones de provenance des branchages et la détermination de l’importance des récoltes effectuées avec les acadja
- L’importance de la récolte avec les acadja a été estimée à travers des enquêtes effectuées au niveau des paysans, les pêcheurs avec acadja de même qu’au niveau de ceux qui interviennent dans leur transport. Les questions ont porté sur les zones de prédilection des acadja, le rendement et sur les possibles motifs de variation des rendements. Les estimations de rendement obtenus sur le terrain ont été corrélées avec ceux des résultats d’enquêtes et des interviews. Se reporter pour plus de détails sur la méthode de collecte des données à Weinzierl (1997) et Floquet et al. (1995).
Les données de base proviennent de Weinzierl (1997). Dans cette référence, les résultats ici présentés sont sur deux cartes séparées. La première comporte le niveau d’exportation des acadja vers les autres lieux du département alors que la deuxième comporte les quais continentaux, les lieux de chargement des branchages et les circuits de transport. Ces deux cartes ont été digitalisées et compilées à l’aide du Logiciel ARCVIEW. On y retrouve les limites territoriales, les lacs et cours d’eau, les villages et villes.
Historique de la pratique de système d’acadja
Acadja est un système traditionnel piscicole d’élevage de poissons dans les lagons naturels. Les branchages des buissons et des arbres utilisés de même que le mode d’élevage ou interviennent ces deux objets sont appelés acadja. Des habitats artificiels pour poissons différents du milieu ambiant du lagon sont aménagés avec des branchages placés dans l’eau du lagon à des profondeurs variant de 1 à 2 mètres (Voir Photo 1, Photo 7). Ces habitats offrent :Les raisons citées plus haut sont à l’origine d’une population dense de poissons dans l’habitat artificiel que dans le milieu ambiant du lagon.
- Une sécurité pour les poissons contre les prédateurs
- Un lieu de frayère pour les poissons
- De la nourriture pour les poissons à partir des algues qui poussent sur les branchages introduits dans l’eau et la population abondante d’organismes vivants provenant du bois en décomposition
L’acadja dans le sud Bénin
La pratique de l’acadja par les pêcheurs du Sud du Bénin remonte à plus de deux cents ans. Cette pratique selon IDRC (1998) se retrouve aussi au Brésil, en Equateur, au Mexique, en Egypte; au Madagascar, au Cambodge au Sri Lanka et au Bengladesh.Le nom donné à l’acadja dépend de sa taille spécifique et de sa forme. Comme exemples on distingue les Acadja-Gbo qui ont une étendue de 6 à 8 ha, les acadja de 1 à 2 ha appelés Acadja-Ava et les Acadjavi qui couvrent une superficie de inférieurs à 0,25 ha. Pour réaliser un hectare d’acadja, il faudra disposer de 7500 fagots de branchages la première année et 5000 les années suivantes. Les espèces de poissons (Photo 2) capturées en majorité sont les suivantes :
HOUSSOU (1986) estime les prises dans les lagons du Sud Bénin à 10 à 15 tonnes par ha alors que VAN THIELEN (1990) les a estimées à 1,5 à 8 tonnes par ha.
- Tilapia melantheroon (Cichliadae) aussi appelée Sarotherodon melanotheron
- Chrisichtys nigrodigitatus (Bragidae)
Le lac Nokoué est le lac le plus important du réseau hydrographique du Bénin qui débouche sur l’océan par un chenal artificiel. Depuis l’ouverture ce chenal, la salinité des eaux de l’océan de même que les organismes vivants prédateurs et les mollusques provenant de l’océan influencent négativement les populations de poissons dans les acadja. La superficie du lac varie en fonction des saisons avec des superficies de 150 km2 en la saison sèche et 450 150 km2 en saison pluvieuse. La profondeur des eaux pendant la saison sèche a une valeur moyenne de 1m et peut atteindre 3 m pendant les hautes eaux.
La récolte des poissons peut être réalisée après 12 mois d’élevage ou par des prises sélectives échelonnées en utilisant des filets à mailles larges qui sélectionnent les poissons les plus gros.
Voici une description détaillée des étapes de la confection de l’acadja de même que celle des acteurs entrant dans le processus
Les champs autrefois étaient cultivés pour plusieurs années permettant une restauration de la fertilité du sol par la jachère. Les acadjas sont actuellement coupés sur les terrains en friches où les buissons et arbustes poussent après cultures. Les branches de 3 à 4mètres de longueur et 1 à 2cm de diamètre sont coupés sur les friches de plusieurs années. Du fait de la pression démographique l’espacement entre les périodes de coupe s’amenuise. On observe le plus souvent une surexploitation des terres qui ne laisse aucun répit pouvant permettre une restauration de la fertilité du sol. La coupe des acadjas s’effectue soit par les propriétaires terriens eux-mêmes ou par des intermédiaires qui payent des frais de coupe aux propriétaires légaux. Une botte contient près de 200 branches.
- Les branches à acadja sont coupées dans les champs en friches et mis en fagots par les propriétaires des champs ou par d’autres individus qui payent un droit de coupe pour les branches d’acadja,
- Les bottes de branchages sont soit convoyées immédiatement par des camions et ou tout autre moyen de transport ou brièvement stockées pour convoyage ultérieur (Photo 3, Photo 4)
- Les bottes de branchage sont acheminés au quai ou marché près de la lagune où les acadjas sont achetés par les pêcheurs soit chez les propriétaires de terre soit chez les intermédiaires (Photo 5)
- Les pêcheurs déposent les acadjas dans l’eau de la lagune et constituent ainsi un parc à acadja (Photo 6)
- La pêche commence 9 mois après par mise en place d’une ceinture de filets et l’enlèvement des branchages un à un. La prise des poissons est faite après avoir tiré les extrémités des filets les unes vers les autres. Les poissons pris sont alors vendus dans le marché.
3.3 Interprétation de la carte et autres résultats
Les résultats de collecte des acadjas
Il a été observé que la période moyenne de jachère est de 4 ans avec des valeurs extrêmes de 2 et de 8 ans. Le rendement en poissons à l’hectare du parc dépend beaucoup de l’origine des bottes. Pour la zone environnant le village Hèvié-Zoungo, il a été noté qu’une coupe de 900 bottes par ha était pratiquée sur les friches fertiles où prédominent les buissons contre 300 sur les terres dégradées à dominance herbacées. La moyenne de prélèvement de bottes atteint en moyenne 600 par ha. La coupe sur les terres plus éloignées du village est de l’ordre de 2000 bottes par ha sur une sole de 5 ans. Les résultats concernant de matière sèche et nutritive exportées de la terre vers la lagune permettent de dire:
- La moyenne gravimétrique de l’eau est 52%,
- La teneur en feuilles sous forme de matière sèche est de 14%,
Pour le détail sur les exportations de nutriments, se conférer aux annotations. Ces investigations ont permis de découvrir que 16 différentes essences sont utilisées pour la fabrication des acadja. La plupart provient des forêts secondaires ou des soles où prédominent les bosquets.
- La teneur en bois sous forme de matière sèche est de 34%. En moyenne on estime à 5640 kg par ha soit 560 g par m2 l’exportation moyenne de matière sèche à la lagune dans le village de Hèvié-Zoungo.
Les circuits de transport des branches à acadja
Le circuit de transport principal dans le département de l’Atlantique est le suivant :Intensité du prélèvement des acadjas sur le plan régional
- Zè - Sèdjè - Zinvié - Akassato - (Abomey Calavi)
- Tori – Bossito - Ouèdo - Abomey Calavi
- Le troisième axe emprunté par les petits intermédiaires est Sékou - Glodjigbé - Akassato - (Abomey Calavi).
- Un dernier circuit est celui de Ouèdo à Abomey Calavi. Les acadja sont essentiellement vendus sur les marchés d’Akassato et d’Abomey Calavi.
Trois zones de prélèvement intensif d’acadja des friches ont été identifiées au cours des enquêtes. La région du sud avec une faible intensité de coupe due certainement à une surexploitation des terres et la pression démographique résultantes. La région de Tori Bossito à l’Ouest à Zinvié dans le nord-est est une zone d’exportation moyenne d’acadja. La coupe des acadjas dans cette zone semble diminuer en quantité et en qualité. La zone de forte exportation d’acadja couvre essentiellement la sous-préfecture de Zè. Les villes de la zone sont Tangbo-Djèvié, Sèdjè-Dénou et Zè. La végétation des terres de jachère est plus luxuriante que celle des deux autres zones. Les branches y coupées sont de 4 mètres de long en moyenne et 4 cm de diamètre. Il faut dire que globalement l’aire de coupe des branches d’acadja s’étend vers le nord et au delà.
L’enquête montre une corrélation positive entre la densité du flux de l’exportation des acadja dans une région et la distance jusqu' au lieu de destination. Plusieurs facteurs expliquent ce fait :
Zone une - faible exportation d’acadja.
La densité élevée de la population dans le sud du Bénin et la proximité de la capitale Cotonou est à l’origine de grandes activités agricoles dont le corollaire est le raccourcissement du temps de jachère et la baisse de fertilité des sols.
Cette dégradation a été aussi accélérée par l’utilisation intensive de la végétation issue de la jachère dans l’exportation des acadjas de même que les éléments nutritifs du sol.
L’exportation des acadjas diminua en intensité du fait de la diminution de la fertilité des sols entraînant une réduction du rendement en acadjas.
Les espèces prédominantes des forêts secondaires qui sont traditionnellement utilisées dans la confection des acadjas deviennent de plus en plus rares sur les terres de jachère. Les espèces émergentes non réellement adaptées à la fabrication des acadjas du fait de la présence des épines ou des substances allélopathiques qu’elles contiennent et capables d’induire la croissance des algues, sont alors coupées.Zone deux - niveau intermédiaire d’exportation d’acadja
Du fait de la diminution du rendement en acadjas dans le sud Bénin l’aire de coupe s’étend en direction du nord et au delà.
L’augmentation des exploitations agricoles a provoqué une baisse de la densité et de la croissance des acadjas lorsque ces paramètres sont comparés aux paramètres de base.
Les sols de la zone deux sont menacés de devenir aussi dégradés que ceux de la zone une si les périodes de jachère ne sont pas allongés au lieu d’être régulièrement rapprochées. La diversité des espèces des jachères est aussi menacée de réduction avec les cultures intensives et l’utilisation intempestive de la végétation de jachère pour les acadjas.Zone trois – grande exportation d’acadjas
Les activités agricoles y sont moins intenses que dans la zone une et deux. Les intervalles entre jachères sont plus longues que celles des deux autres zones et favorise la régénération de la matière organique du sol. Le rendement en acadjas de cette zone est supérieure à celle de la zone une et deux. La dégradation du sol y est moindre offrant ainsi beaucoup de repousses d’acadjas comparativement aux autres régions. Il y a cependant, risque permanent de dégradation si les intervalles entre jachères diminuent et que l’intensité d’exploitation des acadjas augmente.L’étude montre d’une part que le commerce des acadjas a un impact sur la vie économique d’un bon nombre de personnes intervenant dans cette activité. Elle montre d’autre part que l’utilisation abusive de la jachère aboutit à la dégradation de la fertilité du sol et à l’augmentation de l’aire d’exploitation des acadjas. L’exportation de nutriments des champs sous jachère sous forme de branches d’acadjas est un facteur très important de l’équilibre nutritif de tels systèmes agro écologiques (voir annotations).
Les effets négatifs de l’exploitation des acadjas pourraient être évités si les arbrisseaux sont plantés. Les essais d’enracinement de WEINZIEREL (1997) ont montré que les espèces comme Millettia thonniingii pourraient être aisément multipliés. Des recherches futures devraient permettre d’affiner les procédés de multiplication optimum des plants d’acadja, leur exploitation rationnelle de même que la gestion des jachères végétatives afin d’éviter la dégradation du sol.
Les limites de l’étude
Les résultats de l’étude doivent être utilisés avec circonspection du fait du nombre réduit des sources d’informations. Les résultats ici présentés ne constituent ni une étude exhaustive ni une étude de tous les cas statistiques de la région étudiée. Des résultats de la principale zone d’étude située autour du village de Hèvié-Zoungo sont plus détaillés que ceux utilisés dans la classification des autres régions. Les résultats se rapportent seulement aux secteurs d’exploitation des acadjas situés à l’ouest du Lac Nokoué. A ce point de vue les autres données comme celles concernant les territoires sud est n’étaient pas disponibles.
Floquet A., Mongbo R. & Adanguidi J. et al. 1995: Mais zémidjan, ventes de terres,... L'agriculture des zones péri-urbaines du sud du Bénin. Rapport N°10, SFB 308, Institut National de Recherches Agricoles du Bénin & Universität Hohenheim. Stuttgart, Germany.
Houssou C.F. 1986: Contribution à une nouvelle politique de péche au Bénin - comparation avec le Senegal. Masters Thesis. Université Paris I.
International Development Research Centre (IDRC) 1998: Internetressource: www.idrc.ca/nayudamma/acadja 33e.html. Ottawa. Canada.
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Weinzierl S. 1997: Acadja, ein traditionelles, extensives Fischzuchtsystem in den Lagunengewässern Westafrikas und seine Bedeutung für die Brachevegetation Benins.- Diplomarbeit [unveröff.]. Universität -Hohenheim. Stuttgart. Germany.
6 Autrés Bibliographies de Réference![]()
Bernacsek G.M. & Powles H. (1992): Aquaculture Systems Research in Africa: Proceedings of a workshop held in Bouake, Côte d'Ivoire. 14-17 Nov. 1988. IDRC. Ottawa. Canada.
Bohlinger B. 1998: Die spontane Vegetation in traditionellen Anbausystemen Benins ­ ihre Bedeutung und Möglichkeiten des Managements. PLITS (16) 1. 175 pp. Stuttgart. Germany.
Dabbadi L. 1997: Étude de la viabilité d'une pisciculture rural à faible niveau d'intrant dans le Centre-Ouest de la Côte d'Ivoire: approche du réseau trophique. Thèse de doctorat. Université Paris VI.
Hem S. & Avit J.B.L.F. 1994: First results on "acadja-enclos" as an extensive aquaculture system (West Africa). Bulletin of Marine Science 55(2):1040-1051.
Hem S., Avit J.B.L.F. & Cissé A. 1995: Acadja as a system for improving fishery productivity. In: Symoens J.-J. & Micha, J.C. The management of integrated freshwater agro-piscicultural ecosystems in tropical areas. Seminar Brussels, 16-19 May 1994. Royal Academy of Overseas Sciences, CTA - FAO: 423-435.
Lutzeyer H.J. 1992: Aspekte zum Vegetationsmanagement in Mais/Maniok-Anbausystemen in Benin. PLITS (9) 2, 133 pp. Stuttgart. Germany.
Welcomme R.L. 1972: An evaluation of the acadjas method of fishing as practiced in the coastal lagoons of Dahomey (West Africa). J. Fish. Biol. 4: 39-55.
7 Liaisons avec des sites du Web
International Center for Living Aquatic Resources Management (ICLARM)
Office: No. 10, Lower Level 6 Equatorial Hotel Office Block
1 Jalan Bukit Jambul, Bayan Lepas 11900 Penang, Malaysia
Mail: P.O. Box 500, GPO 10670, Penang, Malaysia
Tel. no. (604) 641-4623, 641-4652, 641-4655, 641-4729
Fax: (604) 643-4463; 643-4496
E-mail: ICLARM@cgiar.org
A Global Information System on Fishes (developed by ICLARM)International Development Research Centre (IDRC) (March 13, 1998), Ottawa, Canada
SYFIA - Rédaction centrale. Système francophone d'information agricole.
Agence Periscoop-SYFIA. Agropolis International. 34394 Montpellier Cedex 5 ­ France. Tél. (33) 04 67 04 75 80 - fax (33) 04 67 04 7585. Courriel: syfia@agropolis.fr
SYFIA - Bureau Afrique Côtière. BP 01-3315, Cotonou ­ Bénin. Tél. (229) 31 18 27 - fax (229) 31 18 29. Courriel : syfia@bow.intnet.bjTilapia aquaculture - Proceedings of the Fourth. International Symposium on Tilapia in Aquaculture. Meeing held in Orlando, Florida November 1997.
The Role of Land Tenure and Property Rights in Sustainable Resource Use: The Case of Benin
REVENU EN CFA PAR HECTARE DE PRISE D’ACADJA EN FOCNTION DU TYPE DE VEGETATION ET DE LA FRICHE
TYPE DE VEGETATION COUVERTURE (%) REVENU BRUT EN (FCFA)REVENU NET Fan 55 59300 50100 Gbozun 42 196500 140000 all (including Acacia plantation) 100 133200 97900 Fan = Friche dégradée où dominent les herbes
Gbozun = Friche fertile où prédominent une végétation arbustive
Exportation de nutriments (g/m2) aux sites de Hèvié- Zoungo au Bénin
Type de fricheNutrient N P K Mg Ca Friche moyenne
(600 bottes)5.1 1.1 3.1 1.7 6.0 Fan (300 bottes)2.5 0.6 1.6 0.8 3.0 Gbozun (900 bottes)7.6 1.7 4.7 2.5 9.0 Fan = Friche dégradée où dominent les herbes
Gbozun = Friche fertile où prédominent une végétation arbustive
DIFFERENTES TYPES D’ORGANISATION DU SYSTEME D’ACADJA
Type de friche Transport I Harbour Transport II Lagoon 1. proprietaire commercial commercial pecheur pecheur 2. proprietaire pecheur pecheur pecheur pecheur 3. proprietairer proprietairer proprietaire pecheur pecheurLes données de ce projet à télécharger (un fichier zip par projet)
Avec les données suivantes (si disponible):
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- SIG: couches (ArcView, * shp), projets (fichier-projets d'ArcView, * apr) et légendes (légendes d'ArcView * avl)
- origine des données: tab de text délimité (* txt), excel5 (*. xls), mise en forme en "rich text" (* rtf)
- metadonnées: fichier des textes (* txt)